Arrivé chez BIOCORP en février pour un stage de 6 mois, Pierre a rapidement su s’intégrer à l’équipe R&D. Sa principale qualité est sa curiosité : Pierre est avide de savoir, il pratique une veille assidue et n’hésite pas à mitrailler ses collègues de questions car il aime aller au fond des choses. Il n’est pas surprenant qu’il cite volontiers Marie Curie : “Dans la vie, rien n’est à craindre, tout est à comprendre“…
Il fourmille en outre d’idées nouvelles… ce qui lui sert fortement dans sa mission puisqu’il travaille sur un projet de réalité augmentée permettant de visionner de quelle manière un add-on Biocorp peut être installé sur un device médical puis connecté à l’app. L’objectif final du rendu est autant pédagogique, pour expliquer le mode d’emploi aux patients, que marketing, afin de servir de démo sur les salons par exemple.
Son rôle moteur sur ce projet se nourrit à la fois d’autonomie et de concertation ; ses collègues n’hésitent pas à le conseiller et le guider lorsqu’il lui arrive de douter sur certains points. Et Pierre apprécie tout particulièrement cet esprit coopératif qui règne au sein de l’équipe, offrant ainsi à chacun la possibilité d’avoir une vision transversale de l’activité du pôle. A vrai dire, il ne s’attendait pas vraiment à ce qu’on lui fasse autant confiance dans le cadre d’un stage ! Il apprécie de se sentir libre tout en étant guidé…
Les mots clés de son rôle chez BIOCORP sont selon lui l’implication, l’innovation et la curiosité. Bref, Pierre met beaucoup de passion dans ce qu’il fait, et il a pour habitude de se donner à fond sur les projets qui lui tiennent à cœur. Il souhaite donc logiquement faire adopter son projet finalisé, puis le rendre réalisable à plus grande échelle.
Féru d’astronomie, Pierre aimerait rencontrer Thomas Pesquet à qui il voue une grande admiration. Ils échangeraient sur les 6 mois que l’astronaute a passé au sein de la station spatiale internationale et ce qu’il en a retiré humainement parlant. En somme, Pierre a un peu la tête dans les étoiles, mais ses pieds restent bien sur terre…
Quand Emmanuel arrive au bureau le matin, c’est généralement la tête fourmillant d’idée nouvelles et en tout cas avec une envie forte de donner vie à des innovations et progresser encore et encore dans ses apprentissages et son savoir-faire. Ingénieur électronique hardware et software, Emmanuel travaille actuellement sur l’évaluation de nouveaux capteurs et sur des tests de fonctions intelligentes de cartes électroniques.
Son approche métier est articulée autour de 3 axes forts : équipe, innovation et pragmatisme. Sans avoir à entrer dans le détail de certaines tâches très spécifiques prises en charge par les autres membres de l’équipe projet, Emmanuel a un rôle pivot puisqu’il synthétise un savoir lui permettant d’exercer une approche plus large et globale sur un device donné. Ce rôle concentrique n’est rendu possible que grâce au travail en équipe qui fait loi au sein de la structure, et il apprécie tout particulièrement ces moments d’échanges qui se déroulent dans un esprit bienveillant d’entraide et de cohésion. Il souligne volontiers que personne ne tire la couverture à soi au sein de l’équipe, mais chacun avance avec un objectif commun pour BIOCORP.
Son moteur principal reste l’innovation et c’est bien le défi de constamment devoir trouver une solution qui répondra au mieux aux besoins formulés par le client qui l’anime. Heureusement, Emmanuel est doté d’un bon brin de curiosité et de goût du challenge. Ce n’est pas pour rien qu’il a fait sienne cette phrase de Napoléon : “impossible n’est pas français“ ! Saupoudrons au-dessus de tout cela une bonne dose de pragmatisme car, il l’avoue, Emmanuel aime les choses simples et ne voit pas l’utilité de compliquer les process. Il aborde donc chaque nouveau concept en se demandant prioritairement quel est le moyen le plus simple pour offrir une solution optimale au final.
Amateur de tennis, qu’il pratique régulièrement, il aimerait partager un moment avec Gaël Monfils si l’occasion lui en était donnée. Il déclare aimer son style de jeu, admirer son attitude décontractée mais respectueuse doublée de combativité sur le terrain, soulignant que le tennisman peut se jeter sur une balle que les spectateurs et son adversaire pensent perdue et la remettre en jeu. Vous avez dit “impossible n’est pas français“ ?
Cela fait déjà 5 ans qu’Alain dirige le service R&D objets connectés de BIOCORP. On pourrait plutôt dire qu’il anime le service, puisqu’il est un peu le « G.O. » de l’équipe : jamais à court d’idées, il met un point d’honneur à donner vie aux projets les plus ambitieux et à motiver son équipe pour l’inviter à se surpasser au quotidien.
Pas surprenant donc qu’il cite la cohésion, la motivation et la créativité pour définir son rôle au sein de l’entreprise. S’il souligne que son rôle premier est de penser nouveautés, d’émettre des idées sur de nouveaux produits ou usages, il insiste sur l’importance du travail en équipe et compte sur l’émulation suscitée par la mise en œuvre concrète d’un nouveau projet. Il lui semble important de trouver des challenges pour motiver son équipe et favoriser une ambiance et un cadre de travail facteurs de bien-être. Il privilégie ainsi les moments d’échanges entre collaborateurs, quitte à brusquer parfois un peu certains tempéraments davantage enclins à la réserve, et explique que le lien indispensable à la cohésion est construit par le dialogue.
D’un naturel bienveillant, il s’évertue à expliquer aux jeunes recrues que le savoir-être est tout aussi important que le savoir-faire, si ce n’est plus dans la mesure où cela ne se travaille pas de la même manière. Il est en effet plus facile d’améliorer sa technique que d’implémenter son comportement en milieu professionnel dont les clés sont l’adaptation, l’écoute et l’implication.
Le challenge est certainement l’un des maître-mots de son univers professionnel. Il avoue volontiers que son moteur est la mise en danger dans le sens où il aime être confronté à des situations inédites pour lesquelles il va devoir faire preuve de réflexion et d’imagination afin de trouver une solution adéquate. Il reconnait qu’il s’épanouit dans cet exercice constant de remise en question et d‘adaptation nécessaire qui en résulte, et craint par-dessus tout la routine qui semble être son pire ennemi. Il n’est d’ailleurs pas à court d’exemple pour illustrer son propos… Alain a au fond l’âme d’un bâtisseur : il aime partir de rien, concevoir et construire.
Il apprécie naturellement la liberté dont il jouit dans son travail, la possibilité qui lui est offerte de sortir du cadre et les responsabilités qui lui sont confiées tant dans le domaine managérial que stratégique.
Rien d’étonnant en conclusion que ce fonceur choisirait, si l’occasion lui était donnée, de partager un dîner avec l’explorateur Mike Horn qu’il avoue admirer parce que « rien ne l’arrête, il a un mental d’acier et ose faire des choses inédites ».
Matthieu a rejoint l’équipe BIOCORP dès la fin de ses études à SKEMA-Lille, il y a 10 mois. Il travaille sur la partie “produits connectés“ et son rôle consiste à chercher de nouveaux partenaires commerciaux, au-delà des partenaires traditionnels que sont les laboratoires pharmaceutiques, afin de se positionner sur de nouvelles aires thérapeutiques.
Les 3 mots retenus par Matthieu pour définir son rôle chez BIOCORP sont le contact, l’image et les idées. En effet, le relationnel est primordial dans son job, et le contact s’initie généralement de manière visuelle, d’où l’importance d’une part de la première impression laissée à un interlocuteur, et d’autre part de la qualité à la fois de prise de parole, d’empathie et de persuasion. Il souligne en outre l’importance d’être porteur d’idées nouvelles et des vertus de la remise en question quand elle est appréhendée de manière constructive. Matthieu est en effet du genre à se poser de nombreuses questions au quotidien afin de s’auto-challenger, améliorer son travail et gagner en compétences. Selon lui, “qui ne tente rien n’a rien“ et il envisage, pourquoi pas, de monter sa propre entreprise dans quelques années. Mais pour l’instant il avoue apprécier l’autonomie dont il bénéficie au quotidien dans sa mission et le fort degré de consultation qui fait loi au sein de l’équipe.
Matthieu est curieux des gens et des choses. Chaque matin, il avoue qu’au réveil il se réjouit qu’une nouvelle journée s’offre à lui et sait qu’elle va être intéressante, que ce soit au niveau professionnel autant que personnel. Dans sa vie privée, il ne planifie que rarement les choses car il apprécie le fait que des imprévus surviennent et le surprennent, en général de manière agréable.
Enfin, s’il pouvait partager un repas à base de junk food, son péché mignon, avec la personnalité de son choix, il opterait pour Joaquin Phoenix. Ils pourraient ainsi échanger sur le choix audacieux de l’acteur en 2010 de se retirer du business hollywoodien en déclarant vouloir se consacrer exclusivement à la musique pendant 2 ans : ce canular lui a permis de tourner avec Casey Affleck un film documentaire (“I’m still here“) pointant du doigt certaines manœuvres du système hollywoodien.