Matthieu a rejoint l’équipe BIOCORP dès la fin de ses études à SKEMA-Lille, il y a 10 mois. Il travaille sur la partie “produits connectés“ et son rôle consiste à chercher de nouveaux partenaires commerciaux, au-delà des partenaires traditionnels que sont les laboratoires pharmaceutiques, afin de se positionner sur de nouvelles aires thérapeutiques.
Les 3 mots retenus par Matthieu pour définir son rôle chez BIOCORP sont le contact, l’image et les idées. En effet, le relationnel est primordial dans son job, et le contact s’initie généralement de manière visuelle, d’où l’importance d’une part de la première impression laissée à un interlocuteur, et d’autre part de la qualité à la fois de prise de parole, d’empathie et de persuasion. Il souligne en outre l’importance d’être porteur d’idées nouvelles et des vertus de la remise en question quand elle est appréhendée de manière constructive. Matthieu est en effet du genre à se poser de nombreuses questions au quotidien afin de s’auto-challenger, améliorer son travail et gagner en compétences. Selon lui, “qui ne tente rien n’a rien“ et il envisage, pourquoi pas, de monter sa propre entreprise dans quelques années. Mais pour l’instant il avoue apprécier l’autonomie dont il bénéficie au quotidien dans sa mission et le fort degré de consultation qui fait loi au sein de l’équipe.
Matthieu est curieux des gens et des choses. Chaque matin, il avoue qu’au réveil il se réjouit qu’une nouvelle journée s’offre à lui et sait qu’elle va être intéressante, que ce soit au niveau professionnel autant que personnel. Dans sa vie privée, il ne planifie que rarement les choses car il apprécie le fait que des imprévus surviennent et le surprennent, en général de manière agréable.
Enfin, s’il pouvait partager un repas à base de junk food, son péché mignon, avec la personnalité de son choix, il opterait pour Joaquin Phoenix. Ils pourraient ainsi échanger sur le choix audacieux de l’acteur en 2010 de se retirer du business hollywoodien en déclarant vouloir se consacrer exclusivement à la musique pendant 2 ans : ce canular lui a permis de tourner avec Casey Affleck un film documentaire (“I’m still here“) pointant du doigt certaines manœuvres du système hollywoodien.